Livre de Josuée
24,29 Après ces choses, Josué, fils de Nun, serviteur de l'Éternel, mourut, âgé de cent dix ans. ( ) 24,30 On l'ensevelit dans le territoire qu'il avait eu en partage, à Thimnath Sérach, dans la montagne d'Éphraïm, au nord de la montagne de Gaasch. ( ) 24,31 Israël servit l'Éternel pendant toute la vie de Josué, et pendant toute la vie des anciens qui survécurent à Josué et qui connaissaient tout ce que l'Éternel avait fait en faveur d'Israël. ( ) 24,32 Les os de Joseph, que les enfants d'Israël avaient rapportés d'Égypte, furent enterrés à Sichem, dans la portion du champ que Jacob avait achetée des fils de Hamor, père de Sichem, pour cent kesita, et qui appartint à l'héritage des fils de Joseph. ( ) 24,33 Éléazar, fils d'Aaron, mourut, et on l'enterra à Guibeath Phinées, qui avait été donné à son fils Phinées, dans la montagne d'Éphraïm. ( )
Livre des Juges

1,1 Après la mort de Josué, les enfants d'Israël consultèrent l'Éternel, en disant: Qui de nous montera le premier contre les Cananéens, pour les attaquer?


19547 Bible des Peuples sur titre chapitre 2023-11-11: LES INFIDÉLITÉS D'ISRAËL

19102 Les légendes des Juifs - Louis Ginzberg sur verset 2023-10-31: LE PREMIER JUGE
Après la mort de Josué, les Israélites demandèrent à Dieu s'ils devaient faire la guerre aux Cananéens. La réponse leur fut donnée: «Si vous avez le cœur pur, allez au combat ; mais si votre cœur est souillé par le péché, abstenez-vous. Ils s'enquièrent ensuite de la manière d'éprouver le cœur du peuple. Dieu leur ordonna de tirer au sort et de mettre à part ceux qui seraient désignés par le sort, car ils seraient les plus pécheurs d'entre eux. De nouveau, lorsque le peuple demanda à Dieu de lui donner un guide et un chef, un ange répondit: «Tirez au sort dans la tribu de Caleb». Le sort désigna Kenaz, qui fut établi prince d'Israël. (1)
Son premier soin fut de tirer au sort les pécheurs d'Israël et de déterminer leurs pensées intimes. Il déclara devant le peuple: «Si moi et ma maison sommes mis à part par le sort, traitez-nous comme nous le méritons, brûlez-nous par le feu.» Le peuple étant d'accord, on tira au sort, et 345 personnes de la tribu de Juda furent mises à part, 560 de Ruben, 775 de Simon, 150 de Lévi, 665 d'Issachar, 545 de Zabulon, 380 de Gad, 665 d'Aser, 480 de Manassé, 448 d'Ephraïm, et 267 de Benhamin. (2) 6110 (3) personnes furent ainsi enfermées en prison, jusqu'à ce que Dieu fit connaître ce qu'on allait faire d'elles. Les prières communes de Kenaz, du grand prêtre Eléazar et des anciens de l'assemblée furent ainsi exaucées: «Demandez à ces hommes de confesser leur iniquité, et ils seront brûlés par le feu.» Kenaz les exhorta: «Vous savez qu'Acan, fils de Zabdi, a commis la faute de prononcer l'anathème ; le sort est tombé sur lui, mais il a confessé son péché. Confessez de même vos péchés, afin de revenir à la vie avec ceux que Dieu ressuscitera au jour de la résurrection.» (4)
L'un des pécheurs, un homme du nom d'Elah (5), répondit à cette question: «Si tu veux faire éclater la vérité, adresse-toi à chacune des tribus séparément.» (6) Kenaz commença par la sienne, la tribu de Juda. Les méchants de Juda confessèrent le péché d'avoir adoré le veau d'or, comme leurs ancêtres dans le désert. Les Rubénites offraient des sacrifices aux idoles. Les Lévites dirent: «Nous avons voulu vérifier si le tabernacle est saint.» Ceux de la tribu d'Issacar répondirent: «Nous avons consulté des idoles pour savoir ce qu'il adviendra de nous.» (7) Les pécheurs de Zabulon: «Nous avons désiré manger la chair de nos fils et de nos filles, pour savoir si le Seigneur les aime.» Les Danites avouèrent qu'ils avaient enseigné à leurs enfants les livres des Amorrhéens, qu'ils avaient cachés alors sous le mont Abarim, (8) où Kenaz les trouva effectivement. Les Nephtaliens avouèrent la même faute, mais ils avaient caché les livres dans la tente d'Ela, et c'est là que Kenaz les trouva. Les Gadites reconnurent avoir mené une vie immorale, et les pécheurs d'Asher, avoir trouvé et caché sous la montagne de Sichem les sept idoles d'or appelées par les Amorrhéens les nymphes sacrées, les mêmes sept idoles qui avaient été fabriquées d'une manière miraculeuse après le déluge par les sept pécheurs, Canaan, Puth, Schéla, Nimrod, Elath, Dioul et Shuah. (9) Elles étaient en pierres précieuses de Havilah, qui irradiaient la lumière, rendant la nuit lumineuse comme le jour. En outre, elles possédaient une vertu rare: si un Amorite aveugle embrassait l'une de ces idoles et touchait en même temps ses yeux, il recouvrait la vue. (10) Après les pécheurs d'Asher, ceux de Manassé confessèrent avoir profané le sabbat. Les Ephraïmites reconnurent avoir sacrifié leurs enfants à Moloch. Enfin, les Benjaminites dirent: «Nous avons voulu vérifier si la loi émanait de Dieu ou de Moïse.»
Sur l'ordre de Dieu, ces pécheurs et tous leurs biens furent brûlés par le feu au torrent de Pishon. Seuls les livres amorites et les idoles de pierres précieuses restèrent indemnes. Ni le feu ni l'eau ne pouvaient leur faire de mal. Kenaz décida de consacrer les idoles à Dieu, mais il reçut une révélation: «Si Dieu accepte ce qui a été déclaré anathème, pourquoi l'homme ne l'accepterait-il pas ? Il fut assuré que Dieu détruirait les choses sur lesquelles la main de l'homme n'avait aucun pouvoir. Kenaz, agissant selon les instructions divines, les conduisit au sommet d'une montagne, où un autel fut érigé. Les livres et les idoles y furent déposés, et le peuple offrit de nombreux sacrifices et célébra toute la journée comme une fête. Pendant la nuit qui suivit, Kenaz vit la rosée s'élever de la glace du Paradis et descendre sur les livres. Les lettres de leur écriture en furent effacées, puis un ange vint anéantir ce qui restait. (11) Au cours de la même nuit, un ange emporta les sept pierres précieuses et les jeta au fond de la mer. Pendant ce temps, un second ange apporta douze autres pierres précieuses, sur lesquelles étaient gravés les noms des douze fils de Jacob, à raison d'un nom par pierre. Il n'y avait pas deux pierres semblables: (12) la première, qui portait le nom de Ruben, était comme un sardoine; la seconde, pour Simon, comme une topaze; la troisième, pour Lévi, comme une émeraude (Ex 39,11) ; la quatrième, pour Juda, comme une escarboucle ; la cinquième, pour Issacar, comme un saphir ; la sixième, pour Zabulon, comme une jaspe (Ex 39,12) ; la septième, pour Dan, comme la ligure ; la huitième, pour Nephtali, comme l'améthyste ; la neuvième, pour Gad, comme l'agate (Ex 39,12) ; la dixième, pour Asher, comme la chrysolithe ; la onzième, pour Joseph, comme le béryl ; et la douzième, pour Benjamin, comme l'onyx (Ex 39,12).
Or Dieu ordonna à Kenaz de déposer douze pierres dans l'Arche sainte, et elles devaient y rester jusqu'à ce que Salomon construise le Temple et les attache aux Chérubins. (13) En outre, cette communication divine fut faite à Kenaz: «Lorsque le péché des enfants des hommes aura été consommé par la souillure de Mon Temple, le Temple qu'ils construiront eux-mêmes, je prendrai ces pierres, ainsi que les tables de la loi, et je les déposerai dans le lieu d'où elles ont été retirées autrefois, et elles y resteront jusqu'à la fin de tous les temps, lorsque je visiterai les habitants de la terre. Alors je les reprendrai, et elles seront une lumière éternelle pour ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements». (14)
Lorsque Kenaz porta les pierres au sanctuaire, elles illuminèrent la terre comme le soleil en plein midi.

4860 Chouraqui sur verset 2019-03-30: De la mort de Iehoshoua‘ (Josué) à l’avènement de Shaoul (Saül) s’étend une période de presque deux siècles (de 1200 à 1025 environ), qu’on appelle généralement l’époque des Juges, parce que les chefs militaires et spirituels d’Israël qui se sont succédés pendant ces générations portaient le titre de « juges »; en hébreu, shophetîm. Le livre biblique qui relate les principaux événements de cette période et en tire la leçon théologique porte le même nom. Nous l’avons traduit par « suffètes », terme hérité du carthaginois.
Après la mort de Iehoshoua‘, le peuple se trouva dépourvu d’organisation politique. En effet, les « anciens », qui s’occupaient des affaires courantes, n’avaient aucune autorité au-delà du cercle des gens qu’ils connaissaient personnellement. Dans ces conditions, Israël pouvait difficilement résister à la pression des Cananéens et des Philistins qui restaient maîtres d’une grande partie du pays. En fait, les Hébreux n’étaient solidement installés que dans les régions montagneuses, alors que les riches vallées et la plaine côtière restaient aux mains d’autres peuples.
D’où venait la force des Cananéens et des Philistins face aux Hébreux? Essentiellement de leur équipement, moderne pour l’époque, en armes de fer et en chars. Les Hébreux étaient incapables de résister à la cavalerie ennemie en rase campagne. Ils ne savaient pas non plus organiser le siège d’une place forte. Mais, pour les Benéi Israël, le plus grand danger ne venait pas de la guerre; il les menaçait en temps de paix.
L’influence des moeurs cananéennes en général et de l’idolâtrie en particulier se révélait fort pernicieuse. C’est un des thèmes permanents de la Bible que de dénoncer la tendance des Hébreux à imiter les moeurs de leurs voisins et à adopter leurs cultes. Mais l’unité du peuple d’Israël fut également mise à rude épreuve à l’époque des Juges. Les conditions géographiques et géopolitiques étaient défavorables à la solidarité entre tribus. Celles de Transjordanie étaient isolées et refusèrent plusieurs fois de porter secours à leurs frères de Cisjordanie, même en des cas d’extrême détresse.
Dans ces conditions, seule la personnalité de quelques chefs improvisés put sauver les Hébreux de l’anéantissement.
Le livre des Juges n’est pas un livre historique au sens où nous entendons aujourd’hui ce mot. Le but premier du ou des rédacteurs n’était pas de raconter les événements du passé afin de les faire connaître à un large public et de leur assurer ainsi une consécration culturelle. L’intention principale, sous-jacente à ces récits, est toujours édifiante. Il s’agit de souligner une dialectique historique qui se répète à plusieurs reprises entre deux temps forts: l’oeuvre politique et spirituelle de Iehoshoua‘, d’une part, l’institution de la royauté, d’autre part. La dialectique des récits du livre des Juges est très simple: le peuple d’Israël se détache de plus en plus de l’idéal de la Tora, se voue à l’idolâtrie et fraternise avec les Cananéens; les peuples voisins persécutent les Hébreux, qui finissent par appeler au secours; IHVH-Adonaï lui-même envoie un héros charismatique, qui, après avoir cherché à rassembler quelques tribus, réussit à les galvaniser et conduit le peuple d’Israël à la victoire; viennent quelques dizaines d’années de paix et de prospérité, mais, rapidement, la situation se dégrade et le cycle recommence.
Le livre des Juges baigne dans une ambiance qu’on a souvent qualifiée de « primitive ». On veut dire par là que ces textes nous font assister à l’émergence d’une nation à un moment de son histoire où elle vit par elle-même, dans sa juvénile spontanéité. Les hautes exigences de la morale des patriarches, de la théophanie du Sinaï et de l’organisation imposée par Iehoshoua‘ ne sont pas vraiment oubliées: bien au contraire, on s’y réfère souvent. Néanmoins, le peuple d’Israël, apparemment livré à lui-même, s’essaie à voler de ses propres ailes et fait seul le dur apprentissage de sa maturité et de son indépendance. Confronté à une réalité hostile, il puise en lui-même un dynamisme qui oscille entre le désespoir et l’action héroïque. Les récits du livre des Juges sont extrêmement circonstanciés. Nous y trouvons des paysages, des couleurs et du panache. L’enthousiasme vécu des Benéi Israël à cette époque, et revécu par l’auteur au moment où il en consigne le récit, se traduit par un souffle épique empreint de poésie spontanée.
Le cantique de Debora (Débora) en est l’expression la plus célèbre; mais bien des pages de ce que nous appelons « prose » ne sont pas moins emportées par ce courant si vivace. Formée à l’école de la littérature grecque, notre sensibilité moderne retrouve dans les récits du livre des Juges des tragédies à l’état pur: Iphtah (Jephté) sacrifie sa fille comme le fit Agamemnon; Shimshôn (Samson) met fin à ses jours dans un acte où s’unissent l’héroïsme et le désespoir.
Ce volume ne contient que des récits. On n’y trouve ni lois ni discours. Par contre, le compte rendu des faits est émaillé de touches poétiques ou proverbiales. Le cantique de Debora, l’apologue de Iotâm, les énigmes de Shimshôn, et bien d’autres passages expressifs, lui donnent une coloration littéraire caractéristique. L’ensemble du livre baigne dans une ambiance typique qui lui confère une certaine unité de ton.
L’analyse critique, cependant, nous permet de trouver dans ce livre plusieurs traditions qui ont manifestement été fondues en un seul texte par un rédacteur postérieur. Les deux grands récits de la fin du livre se présentent comme des appendices.

4024 Bible des peuples sur verset 2018-12-26: Le premier chapitre nous renseigne un peu sur la conquête. Elle n’a pas été aussi triomphale que semble le dire le livre de Josué, mais lente et difficile. Les Israélites n’ont pas obéi à l’ordre d’exterminer les païens, ce qui les a entraînés à l’idolâtrie. À ce sujet, oublions notre sens moderne du respect des autres peuples. Israël vit dans un monde où l’on ne se maintient que par la violence et, par ailleurs, tout l’avenir de la révélation divine dans le monde est entre les mains de nomades primitifs menacés à chaque instant de se dissoudre dans leur entourage païen. Comparer les versets 8 et 22 : bien des détails ne sont pas sûrs.

45 BST - Olivier sur verset 2000-08-05: Le livre des Juges est un livre très répétitif, avec des cycles: installation / oubli / idole / envahissement / juge et sauveur

4023 Bible des peuples sur verset 2018-12-26: LES JUGES — INTRODUCTION
Les juges sont pour nous un livre de belles histoires : Déborah, Gédéon, Samson et Dalila, Jephté et sa fille — sans oublier à la fin la femme coupée en morceaux et le prêtre qui se met à son compte avec les idoles de son patron. Mais ces histoires transmises comme des récits populaires, ne font que mettre en images l’histoire d’une époque aussi importante que mal connue. Comment les Hébreux nomades qui sont entrés en Palestine après Moïse se sont-ils transformés en un peuple de petits agriculteurs ? Et comment ont-ils gardé leur identité de peuple choisi par Dieu ? La terre de Canaan, avec ses plaines fertiles, avait tout pour séduire ; ses religions également, proches de la nature, où la liberté sexuelle s’exprimait le plus tranquillement. Tous les peuples qui y étaient entrés s’y étaient fondus. Qu’allait devenir la religion intransigeante du Dieu qu’on ne voit pas ? Ce furent des siècles obscurs à tout point de vue où pendant longtemps on a pu penser que le feu du Sinaï s’était éteint.
LES LIBÉRATEURS
Ce qui va sauver l’avenir des tribus d’Israël, c’est à la fois l’agressivité de plusieurs d’entre elles (pensons à la tribu d’Éphraïm dont les exploits sont contés dans le livre de Josué) ; c’est aussi le fait qu’elles furent souvent à la merci de pillards et d’autres nomades venus du désert qui cherchaient à prendre leur place. Elles restèrent fidèles à Yahvé parce qu’en beaucoup d’occasions elles firent l’expérience du Dieu qui les sauvait. Dans leurs difficultés, les Israélites, inorganisés et divisés en groupes rivaux, vont se regrouper autour de “juges” de tribus, ou de chefs-nés surgis du peuple, des paysans parfois qui remporteront de grandes victoires (voir chapitres 4 et 5). Ces hommes sont passés dans l’histoire comme les Sofetim, un mot qui veut dire à la fois chefs et juges. Il faut savoir que dans la culture hébraïque, et jusque dans l’Évangile, le mot “juger” veut dire également gouverner (Matthieu 19.28). Voilà pourquoi on appelle juges des hommes qui n’ont jamais fait partie d’un tribunal. Peut-être devrions-nous comprendre le mot juges dans un autre sens : ces hommes étaient les instruments de la justice de Dieu. Les juges n’étaient pas des saints au sens où nous utilisons ce mot. Cependant Israël a vu en eux des sauveurs que Dieu, dans sa miséricorde, lui envoyait. Assassiner un chef ennemi ou tuer des Philistins, ne nous paraît plus un acte religieux. Mais, si nous tenons compte de leur temps et de leur milieu, ces hommes avaient montré leur courage et leur foi au milieu de tant de lâcheté. En réveillant la passivité de leurs frères, ils avaient préparé une nouvelle étape de leur histoire.
LES BRAISES SOUS LA CENDRE
La lecture du livre ne nous donne pas une haute idée du niveau moral et religieux d’Israël en ces temps où tous les cadres traditionnels de la famille et de la tribu nomade perdaient leur valeur. Pourtant un renouveau se faisait en profondeur. Deux mots entrent dans le vocabulaire religieux qui montrent cette transformation : héritage et sanctuaire. — Héritage : le nomade a maintenant une terre. Il devra la considérer comme un don de Dieu, la mettre en valeur, la transmettre à ses fils. Toute sa religion sera liée à la terre que Dieu lui a donnée et qu’il conservera dans la mesure où il restera fidèle. — Sanctuaire : les Israélites découvrent les lieux de culte des Cananéens, eux qui n’ont jamais eu de temple au désert. Ils vont donc s’habituer à se regrouper eux aussi dans des lieux de culte où les lévites, les prêtres, garderont les traditions sacrées et les enseignements de Moïse. Cet exemple d’une période où tout est à redécouvrir est plein d’intérêt pour nous en un temps où s’écroulent tous les cadres moraux et religieux sur lesquels nos parents ont vécu. Nous pouvons penser que sous le matérialisme triomphant bien des choses mûrissent et préparent la renaissance d’un christianisme plus conscient de soi dans une société urbaine, planétaire et post-industrielle.

( )
1,2 L'Éternel répondit: Juda montera, voici, j'ai livré le pays entre ses mains. ( ) 1,3 Et Juda dit à Siméon, son frère: Monte avec moi dans le pays qui m'est échu par le sort, et nous combattrons les Cananéens; j'irai aussi avec toi dans celui qui t'est tombé en partage. Et Siméon alla avec lui. ( ) 1,4 Juda monta, et l'Éternel livra entre leurs mains les Cananéens et les Phéréziens; ils battirent dix mille hommes à Bézek. ( ) 1,5 Ils trouvèrent Adoni Bézek à Bézek; ils l'attaquèrent, et ils battirent les Cananéens et les Phéréziens. ( ) 1,6 Adoni Bézek prit la fuite; mais ils le poursuivirent et le saisirent, et ils lui coupèrent les pouces des mains et des pieds. ( )



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