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Mt 18,1

Commentaire: Il était ce semble naturel et logique que le Sauveur terminât cette seconde partie en disant: «C'est moi qu'il ne reçoit pas», ce qui était de tous les châtiments le plus sensible; mais comme les disciples étaient encore peu avancés et qu'une peine semblable ne pouvait les impressionner, il leur fait connaître, par la comparaison d'un fait qui leur est connu, le supplice qui leur est préparé, et il leur déclare qu'il vaudrait mieux pour eux subir ce châtiment temporel, parce qu'un supplice bien plus terrible leur est réservé.


Source: Saint Jean Chrysostome (Peronne-Vivès 1868)