Second Livre des Rois
6,29 Nous avons donc fait bouillir mon fils et nous l'avons mangé ., puis, je lui ai dit le lendemain : Donne-moi ton fils, et aujourd'hui nous le mangerons ., mais elle a caché son fils. ( ) 6,30 Lorsque le roi d'Israël eut oui les paroles de la femme, il déchira ses vêtements, il traversa le rempart, et le peuple vit le cilice sur ses chairs. ( ) 6,31 Et il s'écria : Que Dieu me punisse et qu'il me punisse encore, si la tête d'Elisée est encore aujourd'hui sur ses épaules. ( ) 6,32 Or, Elisée était assis en sa demeure, et les anciens étaient assis auprès de lui. Et le roi avait envoyé contre lui un homme ., avant que celui-ci arrivât, le prophète dit aux anciens : Ne savez-vous pas que le fils du meurtre a envoyé prendre ma tête ? V ( ) 6,33 Comme il parlait encore, le messager entra et dit : C'est le Seigneur qui fait fondre sur nous ces maux ., que puis-je encore attendre, du Seigneur ? ( )

7,1 Et le prophète répondit : Écoute la parole du Seigneur : Voici ce que dit le Seigneur : Demain, à pareille heure, la mesure de fleur de farine se vendra un sicle, et la double mesure d'orge se vendra un sicle à la porte de Samarie.


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7,2 Le grand officier (c'était celui sur le bras duquel le roi s'appuyait) dit à Elisée : A moins que le Seigneur n'en fasse tomber du ciel des cataractes, cette parole peut-elle s'accomplir ? Et le prophète reprit ., Tu le verras de tes yeux, mais tu n'en ma ( ) 7,3 Or, il y avait quatre lépreux devant les portes de la ville, et ils se dirent entre eux : Pourquoi resterions-nous ici jusqu'à la mort ? ( ) 7,4 Si nous disons : Entrons dans la ville, nous y mourrons, car il y a grande famine dans la ville ; et, si nous restons ici, nous y mourrons. Allons donc ; et tombons dans le camp des Syriens ; s'ils nous prennent vivants, nous vivrons ; s'ils nous mettent à mort, eh bien ! nous mourrons. ( ) 7,5 Et ils se levèrent avant le jour pour entrer dans le camp des Syriens ., ils entrèrent par un côté du camp où il n'y avait point un seul homme. ( ) 7,6 Car le Seigneur avait fait retentir dans le camp des Syriens un bruit de chars et de chevaux, comme d'une grande armée. Et chaque Syrien avait dit à son frère : Sans doute le roi d'Israël a pris à sa solde les rois des Hettéens et les rois de l'Égypte, pour qu'ils marchent contre nous. ( )



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