Second Livre de Samuel
21,19 Et c'est encore la guerre, à Gob, contre les Pelishtîm. Èlhanân bèn Ia‘réi-Orguîm, de Béit Lèhèm, frappe Goliat, de Gat. Le bois de sa lance était comme une ensouple de tisserand. ( 1S 17,4 , ) 21,20 C'est encore la guerre à Gat, et c'est un homme, un provocateur. Les doigts de sa main et les doigts de ses pieds, six par six, sont au nombre de vingt-quatre. Lui aussi avait été enfanté par Rapha. ( ) 21,21 Il insulte Israël. Iehonatân bèn Shim‘a, le frère de David, le frappe. ( ) 21,22 Ces quatre-là naquirent de Rapha, à Gat. Ils tombent par la main de David et par la main des serviteurs. ( ) 22,1 David parle à IHVH-Adonaï les paroles de ce poème, le jour où IHVH-Adonaï le secourt de la paume de tous ses ennemis et de la paume de Shaoul. ( )

22,2 Il dit: « IHVH-Adonaï mon rocher, mon bastion, mon évasion,


( Ps 17,2 , )
22,3 Elohîms de mon roc, je m'abrite en lui. Mon bouclier, la corne de mon salut, ma culmination, ma fuite, mon sauveur, tu me sauves de la violence. ( ) 22,4 Je crie: ‹ Louangé, IHVH-Adona, de mes ennemis, je suis sauvé. ( ) 22,5 Oui, les brisants de la mort me cernaient; les torrents de Belia‘al me terrifiaient; ( ) 22,6 les attaches du Shéol m'entouraient; les pièges de la mort me recevaient. ( ) 22,7 Dans ma détresse, j'appelle IHVH-Adonaï, j'appelle mon Elohîms, je crie. Il entend ma voix de son palais, mon appel de ses oreilles. ( )



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