Second Livre de Samuel
21,17 Abishaï bèn Serouyah l'aide. Il frappe le Pelishti et le met à mort. Alors les hommes de David lui jurent pour dire: « Tu ne sortiras plus avec nous à la guerre. Tu n'éteindras pas la lampe d'Israël. » ( ) 21,18 Et c'est après quoi, c'est encore la guerre à Gob, contre les Pelishtîm. Alors Sibekhaï, le Houshati, frappe Saph, l'un des enfants de Rapha. ( ) 21,19 Et c'est encore la guerre, à Gob, contre les Pelishtîm. Èlhanân bèn Ia‘réi-Orguîm, de Béit Lèhèm, frappe Goliat, de Gat. Le bois de sa lance était comme une ensouple de tisserand. ( 1S 17,4 , ) 21,20 C'est encore la guerre à Gat, et c'est un homme, un provocateur. Les doigts de sa main et les doigts de ses pieds, six par six, sont au nombre de vingt-quatre. Lui aussi avait été enfanté par Rapha. ( ) 21,21 Il insulte Israël. Iehonatân bèn Shim‘a, le frère de David, le frappe. ( )

21,22 Ces quatre-là naquirent de Rapha, à Gat. Ils tombent par la main de David et par la main des serviteurs.


( )
22,1 David parle à IHVH-Adonaï les paroles de ce poème, le jour où IHVH-Adonaï le secourt de la paume de tous ses ennemis et de la paume de Shaoul. ( ) 22,2 Il dit: « IHVH-Adonaï mon rocher, mon bastion, mon évasion, ( Ps 17,2 , ) 22,3 Elohîms de mon roc, je m'abrite en lui. Mon bouclier, la corne de mon salut, ma culmination, ma fuite, mon sauveur, tu me sauves de la violence. ( ) 22,4 Je crie: ‹ Louangé, IHVH-Adona, de mes ennemis, je suis sauvé. ( ) 22,5 Oui, les brisants de la mort me cernaient; les torrents de Belia‘al me terrifiaient; ( )



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