Second Livre de Samuel
12,8 Je t'ai donné la maison de ton Adôn, les femmes de ton Adôn sur ton sein. Je t'ai donné la maison d'Israël et de Iehouda; et si c'était peu, je t'en ai ajouté, ça et là. ( ) 12,9 Pourquoi as-tu méprisé la parole de IHVH-Adonaï pour faire le mal à mes yeux ? Ouryah, le Hiti, tu l'as frappé par l'épée. Sa femme, tu l'as prise à toi pour femme. Et lui, tu l'as tué par l'épée des Benéi Amôn ! ( ) 12,10 Maintenant l'épée ne s'écartera pas de ta maison en pérennité. Oui, tu m'as méprisé: tu as pris la femme d'Ouryah le Hiti, pour qu'elle soit à toi pour femme. ( ) 12,11 Ainsi dit IHVH-Adonaï: Me voici, je lève contre toi le malheur de ta maison. Je prendrai tes femmes sous tes yeux, je les donnerai à ton compagnon, et il couchera avec tes femmes sous les yeux de ce soleil. ( ) 12,12 Oui, toi tu as agi en secret; mais, moi, je ferai cette parole devant tout Israël et devant le soleil . » ( )
12,13 David dit à Natân: « J'ai fauté contre IHVH-Adonaï. » Natân dit à David: « IHVH-Adonaï aussi a dépassé ta faute. Tu ne mourras pas.
1596 Bible des peuples sur verset 2018-09-09: Attitude de Dieu : Yahvé efface ton péché (v. 13). Dieu reste fidèle et il tiendra ses promesses aux descendants de David. Plus encore, c’est Salomon, fils de Bethsabée et de David, qui bénéficiera de ces promesses : Dieu fera passer sa grâce là où le péché était passé.
( )12,14 Rien ! Oui, tu as été répugnant, répugnant, devant les ennemis de IHVH-Adonaï avec cette parole. Aussi, le fils qui sera enfanté pour toi mourra, il mourra. » ( ) 12,15 Natân va dans sa maison. IHVH-Adonaï frappe l'enfant que la femme d'Ouryah avait enfanté pour David, et il dépérit. ( ) 12,16 David implore Elohîms pour le garçon. David jeûne, il jeûne, vient, nuite et se couche à terre. ( ) 12,17 Les anciens de sa maison se lèvent contre lui pour le relever de terre. Il n'y consent pas. Il ne se restaure pas de pain avec eux. ( ) 12,18 Et c'est le septième jour: l'enfant meurt. Les serviteurs de David frémissent de lui rapporter que l'enfant était mort. Oui, ils disaient: « Voici, l'enfant étant vivant, nous lui parlions et il n'entendait pas notre voix. Comment lui dirions-nous: L'enfant est mort ? Il fera un malheur. » ( )
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