Livre des Nombres
30,6 Mais si son père, le jour même où il apprend cela, fait opposition, alors tous ses vœux et l’engagement qui l’oblige elle-même ne sont plus valides ; le Seigneur lui pardonnera puisque son père a fait opposition. ( ) 30,7 Si elle appartient à un homme par le mariage et si elle est liée par des vœux qu’elle s’est imposés ou qu’elle a tenu des propos inconsidérés qui l’obligent elle-même, ( ) 30,8 et que son mari apprenne cela, si, le jour même où il l’apprend, il ne lui dit rien, alors ses vœux restent valides et l’engagement qui l’oblige elle-même reste valide. ( ) 30,9 Mais si, le jour même où son mari l’apprend, il fait opposition, alors il annule le vœu qu’elle s’est imposée et les propos inconsidérés qui l’obligent elle-même ; le Seigneur pardonnera à la femme. ( ) 30,10 Le vœu d’une veuve ou d’une femme répudiée, tout engagement qui l’oblige elle-même, reste valide pour elle. ( )
30,11 Si c’est dans la maison de son mari qu’une femme fait un vœu ou prend par serment un engagement qui l’oblige elle-même,
( )
30,12 et que son mari apprenne cela, ne lui dise rien et ne fasse pas opposition, tous ses vœux restent valides et tout engagement qui l’oblige elle-même reste valide. ( ) 30,13 Mais si son mari les annule le jour même où il l’apprend, rien de ce qui a passé ses lèvres en ce qui concerne ses vœux et ce qui l’oblige elle-même ne sera valide : son mari les a annulés, et le Seigneur pardonnera à la femme. ( ) 30,14 Tout vœu et tout engagement par serment à faire pénitence sera validé par le mari, ou annulé par lui. ( ) 30,15 Si, d’un jour à l’autre, son mari ne lui a rien dit, il rend valides tous ses vœux et tous les engagements qu’elle s’est imposés ; il les rend valides puisqu’il ne lui a rien dit le jour même où il l’a appris. ( ) 30,16 Mais s’il tarde à les annuler après l’avoir appris, c’est lui qui portera le poids de sa faute à elle. » ( )
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