Livre du Lévitique
27,21 Quand le champ sera libéré lors de l’année jubilaire, il sera chose sainte pour le Seigneur, tel un champ voué à l’anathème : il est la propriété du prêtre. ( ) 27,22 Si un homme consacre au Seigneur un champ qu’il a acquis mais qui ne fait pas partie de sa propriété patrimoniale, ( ) 27,23 le prêtre en fixera la valeur en proportion des années à courir jusqu’à celle du jubilé, et l’homme en versera le prix le jour même : c’est chose sainte pour le Seigneur. ( ) 27,24 Lors de l’année jubilaire, le champ reviendra à celui dont on l’avait acquis et dont c’est la propriété dans le pays. ( ) 27,25 Toute évaluation sera faite en sicles du sanctuaire, un sicle valant vingt guéras. ( )

27,26 Cependant, personne ne pourra consacrer un premier-né du bétail, puisqu’il est prémices pour le Seigneur ; gros ou petit bétail, il appartient au Seigneur.


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27,27 Mais si c’est un animal impur, on pourra le racheter à la valeur fixée en ajoutant un cinquième ; s’il n’est pas racheté, l’animal sera vendu à la valeur fixée. ( ) 27,28 Cependant, tout ce qu’un homme a voué au Seigneur par anathème – être humain, animal ou champ de sa propriété patrimoniale – ne pourra être vendu ou racheté. Tout ce qui est voué par anathème est chose très sainte pour le Seigneur. ( ) 27,29 Tout être humain voué par anathème ne pourra être racheté, il sera mis à mort. ( ) 27,30 Toute dîme du pays prélevée sur les produits de la terre ou sur les fruits des arbres appartient au Seigneur : c’est chose sainte pour le Seigneur. ( ) 27,31 Si un homme veut racheter une partie de sa dîme, il ajoutera un cinquième à la valeur fixée. ( )



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