Apocalypse de Jean
17,5 Sur son front un nom écrit, un mystère: « Babèl la grande, mère des putains et des abominations de la terre. » ( ) 17,6 Je vois la femme ivre du sang des consacrés et du sang des témoins de Iéshoua‘. Et je m'étonne, la voyant, d'un grand étonnement. ( ) 17,7 Le messager me dit: « Pourquoi t'étonnes-tu ? Je te dirai le mystère de la femme et de la bête qui la porte, celle qui a les sept têtes et les dix cornes. ( ) 17,8 La bête que tu as vue, qui était et n'est plus, elle va surgir hors de l'abîme et aller à la ruine. Ils s'étonneront, les habitants de la terre, ceux dont le nom n'est pas écrit sur le volume de la vie, depuis la fondation de l'univers, en regardant la bête, celle qui était et n'est pas mais est présent. ( ) 17,9 Ceci est l'intelligence de qui a la sagesse: les sept têtes sont sept monts où la femme est assise, et ce sont sept rois. ( )

17,10 Cinq sont tombés. Un existe encore. L'autre n'est pas encore venu. Quand il viendra, il lui faudra demeurer peu.


( )
17,11 La bête qui était et n'est plus est elle-même un huitième. Elle fait partie des sept et va à sa ruine. ( ) 17,12 Les dix cornes que tu as vues, ce sont dix rois qui n'ont pas encore reçu de royaume mais reçoivent la puissance, comme rois, une heure, avec la bête. ( ) 17,13 Ceux-là ont un même dessein: leur dynamisme et leur puissance, ils les donnent à la bête. ( ) 17,14 Ceux-ci guerroieront contre l'agneau, mais l'agneau les vaincra. Il est l'Adôn des Adônîm, le roi des rois; les appelés, les élus, les adhérents sont avec lui. » ( ) 17,15 Il me dit: « Les eaux que tu as vues, là où la putain est assise, ce sont des peuples, et des foules, des nations et des langues. ( )



trouve dans 0 passage(s):
trouve dans 0 liturgie(s):
trouve dans 0 document(s) de référence:
Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 45