Apocalypse de Jean
16,18 Et c'est des éclairs, des voix, des tonnerres, et c'est le grand séisme, tel qu'il n'en fut jamais, depuis que l'homme est sur terre, un tel séisme, aussi grand. ( ) 16,19 Et c'est la cité, la grande, scindée en trois parties; et les cités des nations tombent. Babèl, la grande, est rappelée devant Elohîms pour qu'il lui donne le pot du vin de l'écume de sa brûlure. ( Ps 74,9 , ) 16,20 Toute île s'enfuit, les montagnes ne se trouvent plus. ( ) 16,21 Une grande grêle, de la taille d'un talent, tombe du ciel sur les hommes. Les hommes blasphèment Elohîms pour la plaie de la grêle, parce que grande est sa plaie, à l'excès. ( ) 17,1 Survient un des sept messagers aux sept coupes. Il me parle et dit: « Viens ! Je te montrerai le jugement de la putain, la grande, assise sur les eaux multiples. ( )

17,2 Avec elle ils ont putassé, les rois de la terre; ils se sont soûlés, les habitants de la terre, au vin de sa puterie. »


( )
17,3 Il me transporte au désert, en souffle. Je vois une femme assise sur une bête écarlate, pleine des noms du blasphème, avec des têtes, sept, et des cornes, dix. ( ) 17,4 La femme est habillée de pourpre, d'écarlate, dorée d'or, de pierres précieuses, de perles. Elle a dans sa main un pot d'or plein d'abominations et des souillures de sa puterie. ( ) 17,5 Sur son front un nom écrit, un mystère: « Babèl la grande, mère des putains et des abominations de la terre. » ( ) 17,6 Je vois la femme ivre du sang des consacrés et du sang des témoins de Iéshoua‘. Et je m'étonne, la voyant, d'un grand étonnement. ( ) 17,7 Le messager me dit: « Pourquoi t'étonnes-tu ? Je te dirai le mystère de la femme et de la bête qui la porte, celle qui a les sept têtes et les dix cornes. ( )



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