Apocalypse de Jean
14,11 La fumée de leur tourment s'en va aux pérennités de pérennités. Ils n'ont de répit jour ni nuit, ceux qui se prosternent devant la bête et son image, quiconque reçoit la marque de son nom. ( ) 14,12 Là est l'endurance des consacrés, les gardiens des misvot d'Elohîms et de l'adhérence à Iéshoua‘. ( ) 14,13 J'entends une voix venant du ciel. Elle dit: « Écris: En marche, les morts, ceux qui meurent en IHVH-Adonaï, maintenant ! Certes, dit le souffle, ils se reposent de leurs peines. Oui, leurs oeuvres les suivent. » ( ) 14,14 Je vois, et voici une nuée blanche. Celui qui est assis sur la nuée, semblable à un fils d'humain, a sur sa tête une couronne d'or, et dans sa main une faucille aiguisée. ( ) 14,15 Un autre messager sort du sanctuaire. Il crie à voix forte vers celui qui est assis sur la nuée. « Envoie ta faucille, moissonne, parce qu'elle est venue, l'heure de moissonner; elle est sèche, la moisson de la terre. » ( )

14,16 Celui qui est assis sur la nuée jette sa faucille sur la terre, la terre est moissonnée.


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14,17 Un autre messager sort du sanctuaire, celui du ciel. Il a aussi une faucille aiguisée. ( ) 14,18 Un autre messager sort de l'autel. Il a puissance sur le feu. Il parle d'une voix forte à celui qui a la faucille aiguisée, pour dire: « Envoie ta faucille aiguisée, vendange les grappes de vigne de la terre, parce que ses raisins sont mûrs. » ( ) 14,19 Le messager jette sa faucille sur la terre. Il vendange la vigne de la terre et la jette dans le pressoir de l'écume d'Elohîms, le grand. ( ) 14,20 Le pressoir est foulé hors de la cité, du sang sort du pressoir, jusqu'au mors des chevaux, sur mille six cents stades. ( ) 15,1 Je vois un autre signe au ciel, grand, merveilleux: des messagers, sept, avec des plaies, sept, les dernières, parce qu'en elles elle s'achève, l'écume d'Elohîms. ( )



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