Première Lettre de Pierre de Pierre
2,10 Autrefois vous n’étiez pas un peuple, mais maintenant vous êtes le peuple de Dieu ; vous n’aviez pas obtenu miséricorde, mais maintenant vous avez obtenu miséricorde. ( Os 2,1 , ) 2,11 Bien-aimés, puisque vous êtes comme des étrangers résidents ou de passage, je vous exhorte à vous abstenir des convoitises nées de la chair, qui combattent contre l’âme. ( ) 2,12 Ayez une belle conduite parmi les gens des nations ; ainsi, sur le point même où ils disent du mal de vous en vous traitant de malfaiteurs, ils ouvriront les yeux devant vos belles actions et rendront gloire à Dieu, le jour de sa visite. ( ) 2,13 Soyez soumis à toute institution humaine à cause du Seigneur, soit à l’empereur, qui est le souverain, ( ) 2,14 soit aux gouverneurs, qui sont ses délégués pour punir les malfaiteurs et reconnaître les mérites des gens de bien. ( )

2,15 Car la volonté de Dieu, c’est qu’en faisant le bien, vous fermiez la bouche aux insensés qui parlent sans savoir.


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2,16 Soyez des hommes libres, sans toutefois utiliser la liberté pour voiler votre méchanceté : mais soyez plutôt les esclaves de Dieu. ( ) 2,17 Honorez tout le monde, aimez la communauté des frères, craignez Dieu, honorez l’empereur. ( ) 2,18 Vous les domestiques, soyez soumis en tout respect à vos maîtres, non seulement à ceux qui sont bons et bienveillants, mais aussi à ceux qui sont difficiles. ( ) 2,19 En effet, c’est une grâce de supporter, par motif de conscience devant Dieu, des peines que l’on souffre injustement. ( ) 2,20 En effet, si vous supportez des coups pour avoir commis une faute, quel honneur en attendre ? Mais si vous supportez la souffrance pour avoir fait le bien, c’est une grâce aux yeux de Dieu. ( )



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