Seconde épître aux Corinthiens de Paul
2,15 Car nous sommes pour Dieu la bonne odeur du Christ, parmi ceux qui accueillent le salut comme parmi ceux qui vont à leur perte ; ( ) 2,16 pour les uns, c’est un parfum de mort qui conduit à la mort ; pour les autres, un parfum de vie qui conduit à la vie. Et qui donc est capable de cela ? ( ) 2,17 En effet, nous ne sommes pas comme tous ces gens qui sont des trafiquants de la parole de Dieu ; au contraire, c’est avec sincérité, c’est de la part de Dieu, et devant Dieu, que dans le Christ nous parlons. ( ) 3,1 Allons-nous, une fois de plus, nous recommander nous-mêmes ? Ou alors avons-nous besoin, comme certains, de lettres de recommandation qu’il faudrait vous présenter, ou obtenir de vous ? ( ) 3,2 Notre lettre de recommandation, c’est vous, elle est écrite dans nos cœurs, et tout le monde peut en avoir connaissance et la lire. ( )

3,3 De toute évidence, vous êtes cette lettre du Christ, produite par notre ministère, écrite non pas avec de l’encre, mais avec l’Esprit du Dieu vivant, non pas, comme la Loi, sur des tables de pierre, mais sur des tables de chair, sur vos cœurs.


( )
3,4 Et si nous avons une telle confiance en Dieu par le Christ, ( ) 3,5 ce n’est pas à cause d’une capacité personnelle que nous pourrions nous attribuer : notre capacité vient de Dieu. ( ) 3,6 Lui nous a rendus capables d’être les ministres d’une Alliance nouvelle, fondée non pas sur la lettre mais dans l’Esprit ; car la lettre tue, mais l’Esprit donne la vie. ( Rm 11,27 , 1Co 11,25 2Co 3,6 He 8,13 2Co 3,6 ) 3,7 Le ministère de la mort, celui de la Loi gravée en lettres sur des pierres, avait déjà une telle gloire que les fils d’Israël ne pouvaient pas fixer le visage de Moïse à cause de la gloire, pourtant passagère, qui rayonnait de son visage. ( ) 3,8 Combien plus grande alors sera la gloire du ministère de l’Esprit ! ( )



trouve dans 1 passage(s): A définir,
trouve dans 1 liturgie(s): Dimanche-8-temps ordinaire annee B,
trouve dans 1 document(s) de référence: Catéchisme de l'Eglise Catholique § 700,