Evangile de Luc
18,2 Il dit: « Il était un juge dans une ville, qui ne frémissait pas d'Elohîms et était sans égard pour l'homme. ( ) 18,3 Et il était une veuve dans cette ville-là. Elle vient à lui et lui dit: ‹ Fais-moi justice contre mon adversaire. › ( ) 18,4 Il refuse un temps; mais, après, il se dit en lui-même: ‹ Même si je ne frémis pas d'Elohîms et suis sans égard pour l'homme, ( ) 18,5 cette veuve me tracasse et je lui ferai justice, de peur qu'à la fin elle ne vienne me pocher un oeil. › » ( ) 18,6 L'Adôn dit: « Entendez ce que dit ce juge d'iniquité ! ( )

18,7 Elohîms lui-même ne ferait-il pas justice à ses élus qui crient vers lui jour et nuit ? Et il les ferait attendre ?


( )
18,8 Je vous dis: il leur fera justice promptement. Cependant, quand le fils de l'homme viendra, trouvera-t-il de l'adhérence sur la terre ? » ( Dn 7,13 , ) 18,9 Pour certains qui, convaincus d'être eux-mêmes des justes, dédaignent tous les autres, il dit aussi cet exemple: ( ) 18,10 « Deux hommes montent au sanctuaire pour prier, l'un un Paroush, l'autre un gabelou. ( ) 18,11 Le Paroush se plante debout, prie ainsi en lui-même: ‹ Je te remercie, Elohîms, de ne pas être comme le reste des hommes: voleurs, injustes, adultères, ou même comme ce gabelou. ( ) 18,12 Je jeûne deux fois la semaine et je dîme tout ce que je possède. › ( )



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