Evangile de Luc
13,12 Quand Jésus la vit, il l’interpella et lui dit : « Femme, te voici délivrée de ton infirmité. » ( ) 13,13 Et il lui imposa les mains. À l’instant même elle redevint droite et rendait gloire à Dieu. ( ) 13,14 Alors le chef de la synagogue, indigné de voir Jésus faire une guérison le jour du sabbat, prit la parole et dit à la foule : « Il y a six jours pour travailler ; venez donc vous faire guérir ces jours-là, et non pas le jour du sabbat. » ( ) 13,15 Le Seigneur lui répliqua : « Hypocrites ! Chacun de vous, le jour du sabbat, ne détache-t-il pas de la mangeoire son bœuf ou son âne pour le mener boire ? ( ) 13,16 Alors cette femme, une fille d’Abraham, que Satan avait liée voici dix-huit ans, ne fallait-il pas la délivrer de ce lien le jour du sabbat ? » ( )

13,17 À ces paroles de Jésus, tous ses adversaires furent remplis de honte, et toute la foule était dans la joie à cause de toutes les actions éclatantes qu’il faisait.


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13,18 Jésus disait donc : « À quoi le règne de Dieu est-il comparable, à quoi vais-je le comparer ? ( ) 13,19 Il est comparable à une graine de moutarde qu’un homme a prise et jetée dans son jardin. Elle a poussé, elle est devenue un arbre, et les oiseaux du ciel ont fait leur nid dans ses branches. » ( ) 13,20 Il dit encore : « À quoi pourrai-je comparer le règne de Dieu ? ( ) 13,21 Il est comparable au levain qu’une femme a pris et enfoui dans trois mesures de farine, jusqu’à ce que toute la pâte ait levé. » ( ) 13,22 Tandis qu’il faisait route vers Jérusalem, Jésus traversait villes et villages en enseignant. ( )



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