Livre de Habaquq
1,6 Oui, me voici, je suscite les Kasdîm, la nation amère, rapide, qui va au large de la terre, pour hériter de résidences non siennes. ( ) 1,7 Elle, l'effroyable, à frémir, son jugement sort d'elle-même avec son faix. ( ) 1,8 Ses chevaux sont plus légers que léopards, plus tranchants que loups du soir; ses cavaliers se propagent, ses cavaliers venus de loin. Ils volent comme un vautour pressé de manger. ( ) 1,9 Tout entier à la violence, il vient, ses faces absorbées en avant. Il réunit les captifs comme du sable. ( ) 1,10 Il fait dérision des rois; les potentats sont un jeu pour lui. Il se rit de toutes les forteresses: il accumule de la poussière et les investit. ( )

1,11 Alors le souffle change, il passe et condamne. Ceci, sa force, est son Elohîms.


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1,12 N'est-ce pas toi, d'antan, IHVH-Adonaï ? Mon Elohîms, ma sacralité, tu ne meurs pas ! IHVH-Adonaï, tu l'as mis en jugement, tu l'as fondé en roc pour admonester. ( ) 1,13 Les yeux trop purs pour voir le mal, tu ne peux pas regarder la souffrance. Pourquoi regardes-tu les traîtres et fais-tu le sourd quand le criminel engloutit plus juste que lui ? ( ) 1,14 Tu fais de l'humain comme des poissons de la mer, comme des reptiles sans gouverneur. ( ) 1,15 Il les fait tous monter à l'hameçon; il les attire dans ses rets et les réunit dans sa nasse. Après quoi, il se réjouit et s'égaye. ( ) 1,16 Et après quoi, il sacrifie à son filet, il encense sa nasse. Oui, grâce à eux, sa part est replète, sa nourriture plantureuse. ( )



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