Livre de Daniel
8,12 La milice est donnée contre le permanent, pour les carences. Elle jette la vérité à terre, agit et triomphe. ( ) 8,13 J'entends un Consacré parler, et un autre dire à celui qui parlait: « Jusqu'à quand cette contemplation, le permanent être source de carence et de désolation, le sanctuaire et la milice piétinés ? » ( ) 8,14 Il me dit: « Encore deux mille trois cents matins et soirs: alors le sanctuaire sera justifié. » ( ) 8,15 Et c'est quand je vois, moi Daniél, la contemplation, je demande le discernement. Voici, dressé contre moi, comme la vue d'un brave. ( ) 8,16 J'entends la voix d'un humain au milieu de l'Oulaï. Il s'écrie et dit: « Gabriél; discerne pour celui-là la vue ! » ( )

8,17 il vient près de mon poste. À sa venue, je suis paniqué et tombe sur mes faces. Il me dit: « Discerne, fils de l'homme, oui, elle est pour le temps de la fin, cette contemplation. »


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8,18 Tandis qu'il me parle, je m'endors sur mes faces, à terre. Il me touche et me relève à mon poste. ( ) 8,19 Il dit: « Me voici, je te fais connaître ce qui sera dans l'après de l'exaspération: oui, le rendez-vous est celui de la fin. ( ) 8,20 Le bélier que tu as vu, maître des deux cornes, ce sont les rois de Madaï et de Paras. ( ) 8,21 Le cabri de bouc, le roi de Iavân. La grande corne entre ses yeux, c'est le premier roi. ( ) 8,22 La brisée, à la place de laquelle les quatre se sont dressées, ce sont quatre royaumes. Ils se dresseront d'une nation, mais non dans sa force. ( )



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