Livre de Baruch
6,65 Ils ne peuvent en effet ni maudire ni bénir les rois. ( ) 6,66 Ils ne peuvent montrer parmi les nations des signes dans le ciel, ni resplendir comme le soleil ou briller comme la lune. ( ) 6,67 Les bêtes sauvages leur sont supérieures, elles qui peuvent fuir vers une tanière pour se mettre elles-mêmes à l’abri. ( ) 6,68 D’aucune manière donc il n’est évident pour nous qu’ils sont des dieux. Aussi, ne les craignez pas ! ( ) 6,69 Comme, dans un champ de concombres, un épouvantail qui ne garde rien, ainsi en est-il de leurs dieux de bois, recouverts d’or et d’argent. ( )

6,70 Un buisson d’épines dans un jardin où viennent se poser tous les oiseaux, un cadavre jeté dans un endroit ténébreux : voilà à quoi ressemblent leurs dieux de bois, recouverts d’or et d’argent.


( )
6,71 À voir se ternir sur eux la pourpre et l’éclat, vous comprendrez que ce ne sont pas des dieux. Ils finiront par être eux-mêmes dévorés et deviendront la risée du pays. ( ) 6,72 Mieux vaut l’homme juste qui n’a pas d’idoles : il sera à l’abri de la dérision. ( )
Livre d'Ezéchiel
1,1 La trentième année, le quatrième mois, le cinq du mois, je me trouvais à Babylone au milieu des exilés près du fleuve Kebar ; les cieux s’ouvrirent et j’eus des visions divines. ( Mc 1,10 , ) 1,2 Le cinq du mois, la cinquième année de la déportation du roi Jékonias, ( ) 1,3 la parole de Dieu fut adressée à Ézékiel, fils du prêtre Bouzi, dans le pays des Chaldéens, au bord du fleuve Kebar. La main du Seigneur se posa sur lui. ( )



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