Livre d'Isaïe
51,17 Réveille-toi, réveille-toi, debout, Jérusalem ! Tu as bu de la main du Seigneur la coupe de sa fureur, tu as bu jusqu’à la lie la coupe du vertige ! ( Ps 74,9 , ) 51,18 Personne qui la guide, parmi les fils qu’elle a enfantés ; pas un qui lui prenne la main, de tous les fils qu’elle a élevés ! ( ) 51,19 Ce double malheur t’a frappée, – qui t’en plaindra ? Le ravage et la ruine, la famine et l’épée, – qui t’en consolera ? ( ) 51,20 Tes fils, épuisés, gisent à tous les coins de rue, comme l’antilope prise au piège, submergés par la fureur du Seigneur, la menace de ton Dieu. ( ) 51,21 Écoute alors ceci, malheureuse, ivre, mais pas de vin : ( )

51,22 Ainsi parle ton Maître, le Seigneur, ton Dieu, qui défend la cause de son peuple : Voici que je retire de ta main la coupe du vertige ; à la coupe de ma fureur, désormais tu ne boiras plus.


( )
51,23 Je la mettrai dans la main de ceux qui t’affligeaient et te disaient : « Courbe-toi, que nous passions ! » Et tu faisais de ton dos comme un sol, comme une rue pour les passants ! ( ) 52,1 Éveille-toi, éveille-toi, revêts-toi de force, Sion ! Revêts tes habits de splendeur, Jérusalem, ville sainte ! Désormais l’incirconcis et l’impur n’entreront plus chez toi. ( ) 52,2 Secoue ta poussière ! Debout, Jérusalem, ô captive ! Dénoue les liens de ton cou, ô captive, fille de Sion ! ( ) 52,3 Car ainsi parle le Seigneur : Vous avez été vendus pour rien, c’est sans argent que vous serez rachetés ! ( ) 52,4 Oui, ainsi parle le Seigneur Dieu : En Égypte, au début, mon peuple est descendu en émigré ; à la fin, Assour l’a opprimé. ( )



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