Livre d'Isaïe
51,8 Oui, comme un habit, la mite les mange; comme la laine, la teigne les mange. Ma justice est en pérennité, mon salut d'âge en âge. ( ) 51,9 Éveille-toi, éveille-toi, revêts-toi d'énergie, bras de IHVH-Adonaï ! Éveille-toi comme aux jours d'antiquité, aux âges de pérennité. N'est-ce pas toi qui as équarri le Serpent-Marin, Rahab, transpercé le Crocodile, Tanîn ? ( ) 51,10 N'est-ce pas toi, le tarisseur de la mer, des eaux de l'abîme immense, qui as mis dans les profondeurs de la mer une route pour faire passer les rachetés ? ( ) 51,11 Les rachetés de IHVH-Adonaï retournent et viennent à Siôn en jubilant, la joie de pérennité sur leur tête. L'exultation, la joie les atteindront; l'affliction, le gémissement s'enfuient. ( ) 51,12 Moi-même, moi-même, lui, votre réconfort ! Qui es-tu pour frémir de l'homme qui mourra, du fils d'Adâm, qui à l'herbe sera donné ? ( )

51,13 Tu oubliais IHVH-Adonaï, ton auteur, le déployeur des ciels, le fondateur de la terre; tu tremblais sans cesse, tout le jour, en face de la fièvre du harceleur, quand il se préparait à détruire. Mais où est la brûlure du harceleur ?


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51,14 Le détenu se hâte d'être relâché. Il ne mourra pas dans le pourrissoir; son pain ne manquera pas. ( ) 51,15 Moi-même, ton Elohîms, je sidère la mer aux vagues bouleversées. Son nom: IHVH-Adonaï Sebaot. ( ) 51,16 Je mets ma parole en ta bouche, je te couvre à l'ombre de ma main, pour planter les ciels, fonder la terre, et dire à Siôn: « Toi mon peuple. » ( ) 51,17 Éveille-toi, éveille-toi, lève-toi, Ieroushalaîm, qui as bu de la main de IHVH-Adonaï la coupe de sa fièvre ! Tu l'as bu, tu l'as sucé, le gobelet, la coupe d'ébriété. ( Ps 74,9 , ) 51,18 Pas de directeur pour elle, de tous les fils qu'elle avait enfantés ! Nul ne saisissait sa main, de tous les fils qu'elle avait fait grandir. ( )



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