Livre d'Isaïe
17,10 Tu as oublié ton Dieu, ton sauveur, tu ne t’es pas souvenu de ton Rocher, ton refuge. C’est pourquoi tu cultives des plantes de délices, tu sèmes des espèces étrangères. ( ) 17,11 Le jour même où tu les plantes, tu les vois pousser ; dès le matin, tu vois fleurir ce que tu as semé, mais la récolte t’échappe au jour de la maladie, du mal incurable. ( ) 17,12 Malheur ! C’est le grondement de peuples innombrables qui grondent comme gronde la mer, le rugissement de nations qui rugissent comme rugissent les eaux puissantes ! ( ) 17,13 Ces nations rugissent comme rugissent les grandes eaux ! Mais le Seigneur les menace, elles fuient au loin, chassées comme la paille par le vent des montagnes, comme le tourbillon, par l’ouragan. ( ) 17,14 Le soir venu, c’est l’épouvante ; avant le matin, elles ne sont plus. Telle est la part de ceux qui nous dépouillent, le sort de ceux qui nous mettent au pillage. ( )

18,1 Malheureux, le pays des bruissements d’ailes, au-delà des fleuves d’Éthiopie :


20124 Bible des Peuples sur titre chapitre 2023-11-11: Prophétie contre l'Éthiopie

3599 Bible des peuples sur verset 2018-12-22: Voir commentaire en Isaïe*13.1. On remarquera deux additions placées là beaucoup plus tard : 18.7 et 19.16-24. Un des Juifs qui s’étaient établis en Égypte est l’auteur de ces lignes exprimant sa conviction qu’un jour les nations païennes se convertiront au vrai Dieu.

( )
18,2 il envoie par mer des ambassades dans des barques de papyrus à la surface des eaux. Partez, rapides messagers, vers une race élancée, à la peau luisante, peuple redouté ici et là-bas, nation barbare et tyrannique, où des cours d’eau sillonnent la terre. ( ) 18,3 Vous tous, habitants du monde, vous qui peuplez la terre, quand l’étendard sera levé sur les montagnes, regardez ! quand sonnera le cor, écoutez ! ( ) 18,4 Car le Seigneur m’a déclaré : Je demeure tranquille ; là où je me tiens, je regarde dans la chaleur éblouissante du plein midi, comme un nuage de rosée dans la chaleur de la récolte. ( ) 18,5 Avant la récolte, quand la floraison s’achève et que la fleur se change en fruits mûrissants, on coupe les branches à la serpe, on enlève et jette les rameaux. ( ) 18,6 Tout sera abandonné aux rapaces des montagnes et aux bêtes du pays : les rapaces y passeront l’été, et toutes les bêtes du pays, l’hiver. ( )



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