Livre d'Isaïe
14,25 Sur ma terre, je briserai Assour, je le piétinerai sur mes montagnes ; son joug sera écarté de la nuque des miens, et le fardeau, écarté de leurs épaules. » ( Is 8,21 , ) 14,26 C’est la décision prise contre toute la terre ; c’est la main étendue contre toutes les nations. ( ) 14,27 Le Seigneur de l’univers l’a décidé. Qui donc l’arrêterait ? Et sa main étendue, qui la détournerait ? ( ) 14,28 L’année de la mort du roi Acaz, il y eut cette proclamation : ( ) 14,29 Ne te réjouis pas, Philistie tout entière, si le bâton qui te frappait est brisé. De la racine du serpent va sortir une vipère, et son fruit sera un dragon ailé. ( )
14,30 Les premiers-nés des faibles auront un pâturage, les malheureux reposeront en confiance, mais ta race, je la ferai mourir de faim, et ce qui restera de toi, je le tuerai.
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14,31 Hurle, Porte de la ville ! Citadelle, pousse des cris ! Tremble, Philistie tout entière ! Du Nord arrive une fumée : ce sont des troupes sans déserteur ! ( ) 14,32 Que répondre aux envoyés de cette nation ? Ceci : Le Seigneur a fondé Sion ; en elle se réfugient les pauvres de son peuple. ( ) 15,1 Proclamation sur Moab. Depuis la nuit où Ar fut dévastée, Moab est réduite au silence. Depuis la nuit où Qir fut dévastée, Moab est réduite au silence. ( ) 15,2 On monte au sanctuaire, à Dibone, aux lieux sacrés pour y pleurer. Sur Nébo et sur Madaba, Moab hurle de douleur. Ils ont tous la tête rasée, ils ont tous la barbe coupée. ( ) 15,3 Dans les rues, ils se revêtent de toile à sac ; sur les toits et sur les places, tout le monde hurle et fond en larmes. ( )
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