Livre de Ben Sirac le Sage
40,23 L'ami et le compagnon se rencontrent à certaines heures plus que les deux, la femme avec son mari. ( ) 40,24 Les frères et les secours sont pour le temps de l'affliction plus que les deux, la bienfaisance délivre. ( ) 40,25 L'or et l'argent affermissent les pieds plus que les deux, est estimée la prudence. ( ) 40,26 La richesse et la force élèvent le cœur plus que les deux, la crainte du Seigneur. Avec la crainte du Seigneur, on ne manque de rien ., avec elle, il n'y a pas à implorer du secours. ( ) 40,27 La crainte du Seigneur est comme un jardin béni, et le Seigneur la revêt d'une gloire sans égale. ( )

40,28 Mon fils, puisses-tu ne pas mener une vie de mendicité ., mieux vaut mourir que de mendier.


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40,29 Quand un homme en est réduit à regarder vers la table d'un autre, sa vie ne saurait compter pour une vie. Car il souille son âme par des mets étrangers, ce dont se gardera l'homme instruit et bien élevé. ( ) 40,30 Dans la bouche de l'homme sans pudeur la mendicité est douce ., mais, dans ses entrailles, elle brûle comme un feu. ( ) 41,1 O mort, que ton souvenir est amer à l'homme qui vit en paix au sein de ses richesses, à l'homme exempt de soucis et qui prospère en tout, et qui est encore en état de goûter le plaisir de la table ! O mort, ton arrêt est agréable, ( ) 41,2 à l'indigent, à celui dont les forces sont épuisées, au vieillard accablé d'années et travaillé de mille soins, à celui qui ne se soumet pas à son sort et qui a perdu l'espérance. ( ) 41,3 Ne redoute point l'arrêt de la mort: souviens-toi de ceux qui t'ont précédé et de ceux qui viendront plus tard. ( )



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