Livre de Ben Sirac le Sage
40,21 La flûte et la harpe rendent agréable le poème, mais plus que les deux, une langue claire. ( ) 40,22 La beauté et la prestance sont convoitées par l'oeil, mais plus que les deux, les plantes des champs. ( ) 40,23 L'ami et l'associé à temps se conduisent bien, mais plus que les deux, une femme avisée; ( ) 40,24 le frère et l'assistant au temps de la détresse, mais plus que les deux, une justification salvatrice. ( ) 40,25 L'or et l'argent raffermissent le pied, mais plus que les deux, un bon conseil. ( )

40,26 La vaillance et la force réjouissent le coeur, mais plus que les deux, le frémissement d'Elohîms. Dans le frémissement de IHVH-Adonaï, pas de manque, ni avec lui à chercher d'appui.


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40,27 Le frémissement d'Elohîms est comme un ‘Édèn de bénédiction, et même son dais est tout de gloire. ( ) 40,28 Mon fils, ne vis pas une vie d'aumônes; mieux vaut mourir que mendier. ( ) 40,29 L'homme qui lorgne la table d'un étranger, sa vie ne compte pas pour une vie. Les mets répugnent et nuisent à l'être pour l'homme qui connaît le secret des viscères. ( ) 40,30 L'homme à l'être grossier se plaît à solliciter, mais cela brûle en ses entrailles comme un feu. ( ) 41,1 Oïe, mort, qu'il est amer, ton souvenir, pour l'homme tranquille sur son fondement, l'homme serein qui triomphe en tout et qui a encore la vaillance d'en recevoir la jouissance. ( )



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