Livre de Ben Sirac le Sage
36,26 Une femme doit accepter n’importe quel mari, mais telle fille est préférable à telle autre. ( ) 36,27 La beauté d’une femme est joie pour les yeux ; il n’y a rien de plus désirable pour un homme. ( ) 36,28 Si elle a sur les lèvres douceur et bonté, son mari n’appartient plus au commun des mortels ! ( ) 36,29 Pour qui prend femme, c’est déjà la fortune : elle est une aide semblable à lui, une colonne où s’appuyer. ( ) 36,30 Faute de clôture, un domaine est livré aux pillards ; faute d’avoir une femme, on erre à l’aventure en gémissant. ( )

36,31 Qui ferait confiance à un agile escroc passant de ville en ville ? Il en va de même pour l’homme qui n’a pas de nid et qui s’arrête là où le soir le surprend.


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37,1 Tous tes amis diront : « Moi aussi, je suis ton ami ! », mais tel n’est ami que de nom. ( ) 37,2 N’est-ce pas triste à mourir de voir un compagnon ou un ami se changer en ennemi ? ( ) 37,3 Ô mauvais penchant, d’où as-tu été tiré pour couvrir ainsi la terre de fourberie ? ( ) 37,4 Si l’ami n’est qu’un compagnon de plaisir, au temps de la fête, que vienne la détresse, il changera de camp. ( ) 37,5 Si l’ami a souffert de la faim avec son compagnon, au moment du combat, il prendra les armes avec lui. ( )



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