Livre de Ben Sirac le Sage
18,6 Rien à soustraire et rien à ajouter, rien à scruter des merveilles de IHVH-Adonaï ! ( ) 18,7 Quand l'humain finit, cela commence alors; quand il cesse, alors il s'ébahit. ( ) 18,8 L'humain qu'est-il ? Qu'est son avantage, qu'est son bonheur et qu'est-il son malheur ? ( ) 18,9 Le nombre des jours de l'humain, si c'est beaucoup: cent ans, ( ) 18,10 comme une goutte d'eau de la mer, comme un grain de sable, ainsi, quelques années dans les jours de la pérennité. ( )

18,11 Ainsi IHVH-Adonaï a pour eux longue narine et pour eux il répand ses matrices.


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18,12 Il voit et sait que mauvaise est leur fin, ainsi il multiplie son pardon. ( ) 18,13 Les matrices de l'humain sont à son compagnon. Les matrices de IHVH-Adonaï à toute chair: il corrige, discipline, apprend, fait retourner, comme le pâtre pour son troupeau. ( ) 18,14 Il les matricie, les preneurs de la discipline, ceux qui se hâtent vers ses jugements. ( ) 18,15 Mon fils, au bienfait ne donne pas de défaut, ni à tout don, tristesse de paroles. ( ) 18,16 La rosée n'apaise-t-elle pas la chaleur ? Ainsi mieux vaut une parole qu'un don. ( )



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