Livre de Ben Sirac le Sage
18,1 Celui qui vit à jamais a créé l’univers entier. ( ) 18,2 Seul le Seigneur sera reconnu juste, il n’y en a pas d’autre que lui. Il tient le gouvernail du monde avec la paume de sa main, tout obéit à sa volonté, car, par sa puissance, il est roi de l’univers ; les choses saintes, il les sépare des profanes. ( ) 18,4 À personne, il n’a donné d’énumérer ses œuvres. Qui fera le tour de ses grandeurs ? ( ) 18,5 Qui mesurera la puissance de sa majesté ? Et qui pourrait raconter ses miséricordes ? ( ) 18,6 Rien à en retrancher, rien à y ajouter. On ne peut faire le tour des merveilles du Seigneur. ( )

18,7 Quand l’homme a fini, c’est à peine s’il commence ; s’arrête-t-il, il mesure son indigence.


( )
18,8 Qu’est-ce que l’homme, et à quoi est-il bon ? Quel sens a le bien qu’il fait, quel sens a le mal ? ( ) 18,9 La durée de sa vie est de cent ans tout au plus. Le moment du repos éternel est imprévisible pour chacun. ( ) 18,10 Une goutte d’eau dans la mer, un grain de sable : voilà ses courtes années face à l’éternité. ( ) 18,11 C’est pourquoi le Seigneur est patient avec les humains et répand sur eux sa miséricorde. ( )



trouve dans 0 passage(s):
trouve dans 0 liturgie(s):
trouve dans 2 document(s) de référence: , § La Trinité 09 la trinité dans l'homme § 1,