Livre de Ben Sirac le Sage
17,30 Les humains n’ont pas la toute-puissance car un fils d’homme n’est pas immortel. ( ) 17,31 Quoi de plus lumineux que le soleil ? Et pourtant il disparaît. À plus forte raison, celui qui médite le mal, l’être de chair et de sang. ( ) 17,32 Dieu passe en revue les astres dans les hauteurs du ciel, et, à plus forte raison, les humains qui sont tous terre et cendre. ( ) 18,1 Celui qui vit à jamais a créé l’univers entier. ( ) 18,2 Seul le Seigneur sera reconnu juste, il n’y en a pas d’autre que lui. Il tient le gouvernail du monde avec la paume de sa main, tout obéit à sa volonté, car, par sa puissance, il est roi de l’univers ; les choses saintes, il les sépare des profanes. ( )

18,4 À personne, il n’a donné d’énumérer ses œuvres. Qui fera le tour de ses grandeurs ?


( )
18,5 Qui mesurera la puissance de sa majesté ? Et qui pourrait raconter ses miséricordes ? ( ) 18,6 Rien à en retrancher, rien à y ajouter. On ne peut faire le tour des merveilles du Seigneur. ( ) 18,7 Quand l’homme a fini, c’est à peine s’il commence ; s’arrête-t-il, il mesure son indigence. ( ) 18,8 Qu’est-ce que l’homme, et à quoi est-il bon ? Quel sens a le bien qu’il fait, quel sens a le mal ? ( )



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