Livre de Ben Sirac le Sage
17,28 Du mort, comme s'il n'avait jamais été, l'éloge est perdu; le vivant, sain, célèbre IHVH-Adonaï. ( ) 17,29 Qu'elles sont multiples, les matrices de IHVH-Adonaï, son pardon à ceux qui retournent à lui. ( ) 17,30 Non, tout ne peut pas être en l'homme. Non, le fils de l'humain n'est pas un fils de la non-mort. ( ) 17,31 Quoi de plus brillant que le soleil ? Lui-même s'enténèbre. La chair et le sang pensent le mal. ( ) 17,32 Il surveille la milice du plus haut des ciels, tous les fils de l'humain sont poussière et cendre. ( )

18,1 Le vivant de la pérennité a tout créé uni.


( )
18,2 IHVH-Adonaï seul est reconnu pour juste, nul autre hormis lui. ( ) 18,3 Conducteur de la pérennité au petit doigt de sa main, tous obéissant à son vouloir, oui, lui, le roi du tout en sa force qui sépare le sacré du profane. ( ) 18,4 Nul ne suffira à raconter ses oeuvres. Qui scrutera ses grandeurs ? ( ) 18,5 Qui dénombrera l'énergie de sa grandeur, et qui ajoutera à rapporter ses chérissements ? ( ) 18,6 Rien à soustraire et rien à ajouter, rien à scruter des merveilles de IHVH-Adonaï ! ( )



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