Livre de Ben Sirac le Sage
17,21 Mais le Seigneur est bon et connaît ses créatures, loin de les abandonner ou de les perdre, il les épargne. ( ) 17,22 L’aumône d’un homme est marquée d’un sceau devant Dieu qui veille sur une bonne action comme sur la prunelle de l’œil et accorde le repentir à ses fils et à ses filles. ( ) 17,23 À la fin il se lèvera et fera les comptes, il rendra à chacun ce qui lui revient. ( ) 17,24 À ceux qui se repentent, Dieu ouvre le chemin du retour ; il réconforte ceux qui manquent de persévérance. ( ) 17,25 Convertis-toi au Seigneur, et renonce à tes péchés ; mets-toi devant lui pour prier, et diminue tes occasions de chute. ( )

17,26 Reviens vers le Très-Haut et détourne-toi de l’injustice, – c’est lui qui conduit des ténèbres à la lumière de la vie – ; les actions abominables, déteste-les.


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17,27 Qui pourra célébrer le Très-Haut dans le séjour des morts, remplacer les vivants qui lui rendent gloire ? ( ) 17,28 La louange est enlevée au mort puisqu’il n’est plus ; c’est le vivant, le bien-portant, qui célébrera le Seigneur. ( ) 17,29 Qu’elle est grande, la miséricorde du Seigneur, qu’il est grand, son pardon pour ceux qui se convertissent à lui ! ( ) 17,30 Les humains n’ont pas la toute-puissance car un fils d’homme n’est pas immortel. ( ) 17,31 Quoi de plus lumineux que le soleil ? Et pourtant il disparaît. À plus forte raison, celui qui médite le mal, l’être de chair et de sang. ( )



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