Livre de Ben Sirac le Sage
14,2 Heureux celui que sa conscience ne condamne pas et qui n’a pas perdu l’espoir. ( ) 14,3 La richesse ne sied pas à l’homme mesquin, et, pour l’homme envieux, quelle fortune suffirait ? ( ) 14,4 Qui amasse en se privant amasse pour autrui : avec ses biens, d’autres vivront dans le plaisir. ( ) 14,5 Celui qui est dur pour lui-même, pour qui sera-t-il bon ? Il ne jouira même pas de sa fortune. ( ) 14,6 Nul n’est pire que celui qui se ronge d’envie : il reçoit le salaire de sa perversion. ( )

14,7 S’il fait le bien, c’est par mégarde ; il finit toujours par laisser voir sa méchanceté.


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14,8 Il est vil, celui qui a l’œil envieux, qui détourne son regard et méprise les gens. ( ) 14,9 L’œil de l’avare n’est pas satisfait de ce qui lui revient ; une avidité malsaine dessèche l’âme. ( ) 14,10 L’avare est chiche de pain, il en manque, lui-même, à sa table. ( ) 14,11 Mon fils, fais-toi plaisir avec ce que tu as et présente au Seigneur des offrandes dignes de lui. ( ) 14,12 Souviens-toi que la mort ne tardera pas, et que l’heure fixée ne t’a pas été révélée. ( )



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