Cantique des Cantiques
6,10 « Qui donc est celle qui surgit, semblable à l’aurore, belle autant que la lune, brillante comme le soleil, terrible comme des bataillons ? » ( ) 6,11 Je suis descendu au jardin du noyer voir le vallon qui verdoie, voir si la vigne bourgeonne, si les grenadiers sont en fleurs… ELLE ( ) 6,12 Je ne sais plus, mon âme m’a transportée sur les chars de mon peuple-prince. ( ) 7,1 Reviens, reviens, ô Sulamite ! Reviens, reviens : que nous t’admirions ! – Qu’admirez-vous de la Sulamite tandis qu’elle danse au milieu des deux chœurs ? ( ) 7,2 Comme ils sont beaux, tes pieds, dans tes sandales, fille de prince ! Les courbes de tes hanches dessinent des colliers, œuvre de mains artistes. ( )

7,3 Ton nombril : une coupe ronde où le vin ne tarit pas. Ton ventre : un monceau de blé dans un enclos de lis.


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7,4 Tes deux seins : deux faons, jumeaux d’une gazelle. ( ) 7,5 Ton cou : une tour d’ivoire. Tes yeux : les vasques de Heshbone à la porte de Bath-Rabbim, et ton nez, comme la Tour du Liban, sentinelle tournée vers Damas. ( ) 7,6 Ta tête se dresse comme le Carmel. Sa parure est de pourpre ; un roi s’est pris dans ces tresses. LUI ( ) 7,7 Ah ! Que tu es belle ! Que tu es douce, amour, en tes caresses ! ( ) 7,8 Tu es élancée comme le palmier, tes seins en sont les grappes. ( )



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