Cantique des Cantiques
4,13 Tes formes élancées : un paradis de grenades aux fruits délicieux, le nard et le cypre, ( ) 4,14 le nard et le safran, cannelle, cinnamome, et tous les arbres à encens, la myrrhe et l’aloès, tous les plus fins arômes. ( ) 4,15 Ô source des jardins, puits d’eaux vives qui ruissellent du Liban ! ELLE ( ) 4,16 Éveille-toi, Vent du nord ! Viens, Vent du sud ! Souffle sur mon jardin et ses arômes s’exhaleront ! Qu’il entre dans son jardin, mon bien-aimé, qu’il en mange les fruits délicieux. ( ) 5,1 Je suis entré dans mon jardin, ma sœur fiancée : j’ai recueilli ma myrrhe, avec mes aromates, j’ai mangé mon pain et mon miel, j’ai bu mon vin et mon lait. CHŒUR Mangez, amis ! Buvez, bien-aimés, enivrez-vous ! ELLE ( )

5,2 Je dors, mais mon cœur veille… C’est la voix de mon bien-aimé ! Il frappe ! LUI – Ouvre-moi, ma sœur, mon amie, ma colombe, ma toute pure, car ma tête est humide de rosée et mes boucles, des gouttes de la nuit. ELLE


19980 Bible des Peuples sur titre chapitre 2023-11-11: Quatrième Chant

2335 Bible des peuples sur verset 2018-11-18: Expérience de notre lourdeur : combien de fois Dieu passera-t-il sans que nous le reconnaissions ? “Je viens comme le voleur, lorsque tu ne t’y attends pas” Apocalypse 3.3. Je dormais, mais mon cœur veillait. Ce n’était pas le sommeil de ceux qui n’attendent rien, mais si “l’esprit est prompt”, la chair est faible. Il arrivait avec tous ses bienfaits (c’est le sens de la rosée), et on laisse passer l’occasion. On le saura lorsqu’il sera trop tard : on n’a pas ouvert tout de suite parce qu’en réalité on avait peur de l’inconnu. Il savait, lui, que ce n’était pas encore l’heure : il n’est pas parti sans laisser un témoignage de son passage : la myrrhe a dégoutté de mes mains. Quelque chose a été semé qui mûrira dans la suite.

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5,3 – J’ai ôté ma tunique : devrais-je la remettre ? J’ai lavé mes pieds : devrais-je les salir ? ( ) 5,4 Mon bien-aimé a passé la main par la fente de la porte ; mes entrailles ont frémi : c’était lui ! ( ) 5,5 Je me suis levée pour ouvrir à mon bien-aimé, les mains ruisselantes de myrrhe. Mes doigts répandaient cette myrrhe sur la barre du verrou. ( ) 5,6 J’ai ouvert à mon bien-aimé : mon bien-aimé s’était détourné, il avait disparu. Quand il parlait, je rendais l’âme… Je l’ai cherché : je ne l’ai pas trouvé. Je l’appelai : il n’a pas répondu. ( ) 5,7 Ils m’ont trouvée, les gardes, eux qui tournent dans la ville : ils m’ont frappée, ils m’ont blessée, ils ont arraché mon voile, les gardes des remparts ! ( )



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