Livre des Proverbes
12,8 On loue quelqu’un pour son bon sens ; l’esprit tordu mérite le mépris. ( ) 12,9 Mieux vaut être méprisé, mais avoir un serviteur, que faire l’important et manquer de pain ! ( ) 12,10 Le juste connaît les besoins de ses bêtes ; le méchant n’a que cruauté à la place du cœur ! ( ) 12,11 Qui travaille sa terre aura du pain à satiété, qui poursuit des chimères est un écervelé. ( ) 12,12 Le méchant convoite des proies misérables, la racine du juste donnera du fruit. ( )

12,13 Des lèvres criminelles sont un piège dangereux, mais le juste échappe à son étreinte.


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12,14 Chacun, du fruit de sa bouche, peut tirer grand bien, comme chacun recueille le salaire de ses mains. ( ) 12,15 Le chemin de l’insensé paraît droit à ses yeux, mais un sage accepte le conseil. ( ) 12,16 L’insensé manifeste, sur l’heure, son dépit ; bien avisé qui reste sourd à l’injure ! ( ) 12,17 Le témoin véridique manifeste ce qui est juste ; le faux témoin ne cesse de tromper. ( ) 12,18 Les bavards, c’est comme des coups d’épée, mais la langue des sages guérit. ( )



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