Psaumes de David
122,1 Poème des montées. Vers toi je lève mes yeux, habitants des ciels. ( ) 122,2 Voici, comme les yeux des serviteurs sur la main de leurs maîtres, comme les yeux de la servante sur la main de sa dame, ainsi nos yeux se lèvent vers IHVH-Adonaï, notre Elohîms, jusqu'à ce qu'il nous gracie. ( ) 122,3 Gracie-nous, IHVH-Adonaï, gracie-nous ! Oui, nous sommes rassasiés de trop de mépris ! ( ) 122,4 Notre être est trop rassasié du sarcasme des repus, du mépris des superbes ! ( ) 123,1 Poème des montées. De David. Sans IHVH-Adonaï qui est pour nous, qu'Israël le dise donc ! ( )

123,2 Sans IHVH-Adonaï qui est pour nous, quand l'homme se dresse contre nous,


( )
123,3 alors ils nous engloutiraient vivants, dans la brûlure de leur fureur contre nous. ( ) 123,4 Alors les eaux nous inonderaient, le torrent passerait sur notre être. ( ) 123,5 Alors elles passeraient sur notre tête, les eaux impétueuses. ( ) 123,6 IHVH-Adonaï est béni, qui ne nous donnera pas en proie à leurs dents. ( ) 123,7 Notre être, comme un oiseau, s'est enfui du piège des oiseleurs; le piège est brisé, nous sommes libres. ( )



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