Psaumes de David
89,4 A tes yeux, mille ans sont comme hier, c'est un jour qui s'en va, une heure dans la nuit. ( ) 89,5 Tu les as balayés : ce n'est qu'un songe ; dès le matin, c'est une herbe changeante : ( ) 89,6 elle fleurit le matin, elle change ; le soir, elle est fanée, desséchée. ( ) 89,7 Nous voici anéantis par ta colère ; ta fureur nous épouvante : ( ) 89,8 tu étales nos fautes devant toi, nos secrets à la lumière de ta face. ( )

89,9 Sous tes fureurs tous nos jours s'enfuient, nos années s'évanouissent dans un souffle.


( )
89,10 Le nombre de nos années ? soixante-dix, quatre-vingts pour les plus vigoureux ! Leur plus grand nombre n'est que peine et misère ; elles s'enfuient, nous nous envolons. ( ) 89,11 Qui comprendra la force de ta colère ? Qui peut t'adorer dans tes fureurs ? ( ) 89,12 Apprends-nous la vraie mesure de nos jours : que nos coeurs pénètrent la sagesse. ( ) 89,13 Reviens, Seigneur, pourquoi tarder ? Ravise-toi par égard pour tes serviteurs. ( ) 89,14 Rassasie-nous de ton amour au matin, que nous passions nos jours dans la joie et les chants. ( )



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