Psaumes de David
72,20 Comme un rêve au réveil, Adonaï, dans la ville de leurs ombres, tu les méprises. ( ) 72,21 Oui, mon coeur fermente, mes reins me lancinent. ( ) 72,22 Moi, stupide, je ne le pénétrais pas; j'étais une bête avec toi. ( ) 72,23 Moi, toujours avec toi, tu saisis ma main droite. ( ) 72,24 En ton conseil, tu me mènes; ensuite, en gloire, tu me prendras. ( )

72,25 Qui est à moi dans les ciels ? Sauf toi; je ne désire rien sur terre.


( )
72,26 Ma chair et mon coeur épuisés, le roc de mon coeur et ma part, c'est toi, Elohîms, en pérennité. ( ) 72,27 Oui, voici, tes lointains perdent; tu annihiles tous ceux qui loin de toi putassent. ( ) 72,28 Et moi, la proximité d'Elohîms est pour moi le bien. Je situe en Adonaï IHVH-Elohîms mon refuge, pour raconter toutes tes oeuvres. ( Mt 5,3 , ) 73,1 Perspicace. D'Assaph. Pourquoi, Elohîms, négliges-tu avec persistance ? Ta fureur fume contre les ovins de ton pâturage. ( ) 73,2 Souviens-toi de ta communauté, que tu as achetée, jadis. Tu as racheté le rameau de ta possession, ce mont Siôn où tu demeures. ( )



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