Psaumes de David
72,18 Tu les mets sur un terrain glissant, puis tu les précipites dans l’abîme. ( ) 72,19 Comment, les voilà ruinés ? Comme c’est vite fait ! Ils ne sont plus, tout a fini dans l’épouvante. ( ) 72,20 Comme un songe au réveil, Seigneur, tu t’es réveillé et tu as chassé leur image. ( ) 72,21 Quand j’étais aigri, aiguillonné par mes ressentiments, ( ) 72,22 c’était de la bêtise, non de la sagesse, je ne te comprenais guère plus que les bêtes. ( )

72,23 Ne suis-je pas en tout temps avec toi ? Tu m’as saisi de la main droite,


( )
72,24 tu me guides selon ton dessein, et ta Gloire derrière elle m’entraîne. ( ) 72,25 Que pourrais-je avoir aux cieux, si ce n’est toi, et à part toi, je ne désire rien sur la terre. ( ) 72,26 Ma chair et mon cœur se consument pour toi, mon Dieu, mon roc, qui es mien à jamais. ( ) 72,27 Nul doute : qui s’éloigne de toi se perd, tu réduis à rien ceux qui te sont infidèles. ( ) 72,28 Pour moi rien de meilleur que d’être près de Dieu ; j’ai fait du Seigneur mon refuge et je redirai tes œuvres aux portes de Sion. ( Mt 5,3 , )



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