Livre de Job
41,17 Quand il se dresse, les vaillants prennent peur et se dérobent par crainte des coups. ( ) 41,18 L’épée l’atteint sans pouvoir s’enfoncer, pas plus que lance, trait ou javeline. ( ) 41,19 Il regarde le fer comme paille, le bronze, comme bois vermoulu. ( ) 41,20 Le tir de l’arc ne le fait pas fuir ; pour lui, les pierres de fronde se changent en fétu de paille. ( ) 41,21 La massue lui semble un fétu, il se rit du sifflement du javelot. ( )

41,22 Son ventre est garni de tessons pointus, herse qu’il traîne sur la vase.


( )
41,23 Il fait bouillonner le gouffre comme un chaudron, transforme la mer en brûle-parfums. ( ) 41,24 Il laisse derrière lui un sillage de lumière ; on dirait que l’abîme a pris des cheveux blancs. ( ) 41,25 Sur terre il n’a pas son pareil, lui qui fut créé intrépide. ( ) 41,26 Tout ce qui est altier, il le toise, lui, le roi de tous les fauves. » ( ) 42,1 Job s’adressa au Seigneur et dit : ( )



trouve dans 0 passage(s):
trouve dans 0 liturgie(s):
trouve dans 0 document(s) de référence:
Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 37