Livre de Job
41,5 Qui découvre ses faces, sa vêture ? Qui franchit son double mors ? ( ) 41,6 Les portes de ses faces, qui peut les ouvrir ? Autour de ses dents, c'est l'effroi. ( ) 41,7 L'orgueil du ruissellement de boucliers, fermés, étroitement scellés, ( ) 41,8 l'un dans l'autre imbriqués ; le souffle ne pénètre pas entre eux. ( ) 41,9 L'un à l'autre collés, ils s'agglomèrent et ne se séparent pas. ( )
41,10 Ses éternuements s'auréolent de lumière, ses yeux semblables aux paupières de l'aube.
( )
41,11 De sa bouche émanent des torches ; des flammèches de feu s'en échappent. ( ) 41,12 Une fumée jaillit de ses naseaux, comme d'un chaudron effervescent ou de scirpes. ( ) 41,13 Son être flamboie de braises ; la flamme jaillit de sa gueule. ( ) 41,14 En son col nuite l'énergie ; en face de lui, la mortification pirouette ( ) 41,15 Les fanons de sa chair collent, coulés sur lui, inébranlables. ( )
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