Livre de Job
40,32 Pose seulement la main sur lui : imagine la lutte, tu ne continueras pas ! ( ) 41,1 Vois, la témérité est illusoire : rien qu’à son aspect, n’est-on pas terrassé ? ( ) 41,2 N’est-il pas cruel dès qu’on le réveille ? Qui donc oserait me tenir tête, à moi ? ( ) 41,3 Qui m’a donné d’avance, que je doive le payer de retour ? Tout ce qui est sous les cieux est à moi. ( ) 41,4 Je ne passerai pas ses membres sous silence, ni le détail de ses prouesses, ni l’élégance de ses proportions. ( )

41,5 Qui a jamais soulevé le devant de sa cuirasse ? Qui pénétrera dans sa double denture ?


( )
41,6 Qui a jamais ouvert les battants de sa gueule ? Autour de ses dents, c’est l’effroi ! ( ) 41,7 Son dos : des rangées de boucliers étroitement rivés par un sceau, ( ) 41,8 si rapprochés l’un de l’autre que l’air ne passe pas entre eux. ( ) 41,9 Ils adhèrent l’un à l’autre, pris ensemble, sans fissure. ( ) 41,10 Ses éternuements font jaillir la lumière ; ses yeux sont les paupières de l’aurore. ( )



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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 37