Livre de Job
38,8 Quelqu'un ferma deux battants sur l'Océan quand il jaillissait du sein maternel, ( ) 38,9 quand je lui donnais les brumes pour se vêtir, et le langeais de nuées sombres. ( ) 38,10 J'ai brisé son élan par mon décret, j'ai verrouillé les deux battants ( ) 38,11 et j'ai dit: " Tu viendras jusqu'ici, pas plus loin; là s'arrêtera l'insolence de tes flots! " ( ) 38,12 As-tu, un seul de tes jours, commandé au matin, et assigné à l'aurore son poste, ( )

38,13 pour qu'elle saisisse la terre par ses bords et en secoue les méchants ?


( )
38,14 La terre alors prend forme comme l'argile sous le sceau, et tout surgit, chamarré. ( ) 38,15 Mais les méchants y perdent leur lumière, et le bras qui s'élevait est brisé. ( ) 38,16 Es-tu parvenu jusqu'aux sources de la mer, as-tu circulé au fin fond de l'abîme ? ( ) 38,17 Les portes de la mort te furent-elles montrées ? As-tu vu les portes de l'ombre de mort ? ( ) 38,18 As-tu idée des étendues de la terre ? Décris-la, toi qui la connais tout entière. ( )



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