Livre de Job
37,8 La bête sauvage se retire dans son antre et se tapit dans ses tanières. ( ) 37,9 D arrive l’ouragan, et des vents du nord, la froidure. ( ) 37,10 Au souffle de Dieu se forme la glace, et l’étendue des eaux se fige. ( ) 37,11 Il charge d’humidité le nuage, il disperse ses nuées de lumière ; ( ) 37,12 elles tournoient en cercles selon ses desseins, pour œuvrer à tout ce qu’il leur ordonne sur la face du monde terrestre. ( )

37,13 Il en fait soit un fléau pour sa propre terre, soit une marque de bonté.


( )
37,14 Prête l’oreille à ceci, Job, arrête-toi et considère les merveilles de Dieu ! ( ) 37,15 Sais-tu comment Dieu leur commande et fait briller la lumière de sa nuée, ( ) 37,16 sais-tu comment il suspend le nuage ? Prodiges d’un parfait connaisseur ! ( ) 37,17 Toi, dont les habits sont trop chauds, quand repose la terre au vent du midi, ( ) 37,18 as-tu avec lui tassé les nuées, durcies comme un miroir de métal fondu ? ( )



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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 36