Livre de Job
34,19 Dieu, lui, ne prend pas le parti des princes, ne reconnaît pas plus le nanti que le faible, car tous sont l’œuvre de ses mains. ( ) 34,20 En un instant, les princes meurent, même au milieu de la nuit, le peuple s’agite et ils disparaissent, on écarte un tyran sans effort. ( ) 34,21 Car Dieu a les yeux sur les chemins de l’homme, il voit tous ses pas. ( ) 34,22 Ni ténèbres ni ombre de mort où puissent se cacher les malfaiteurs. ( ) 34,23 Il n’a pas besoin d’observer longtemps quelqu’un pour le faire venir devant lui en jugement. ( )

34,24 Sans enquête, il brise les puissants et met d’autres hommes à leur place.


( )
34,25 C’est qu’il démasque leurs manœuvres ; il les renverse dans la nuit, ils sont écrasés. ( ) 34,26 Tels des criminels, il les gifle dans un lieu bien en vue, ( ) 34,27 parce qu’ils se sont détournés de lui, qu’ils ont méconnu tous ses chemins, ( ) 34,28 au point de faire monter vers lui le cri du faible, le cri des pauvres qu’il entend. ( ) 34,29 Même s’il reste inactif, qui le condamnera, s’il cache sa face, qui l’apercevra ? Il veille pourtant sur les nations et sur l’individu, ( )



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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 36