Livre de Job
31,18 Oui, depuis ma jeunesse je l'ai élevé comme un père, guidé depuis le ventre de ma mère. ( ) 31,19 Si je voyais un homme perdu sans vêtement, un pauvre sans couverture, ( ) 31,20 ses lombes me bénissaient, de la toison de mes moutons se réchauffant. ( ) 31,21 Si j'agitais ma main contre l'orphelin, quand je voyais, à la porte, une aide pour moi, ( ) 31,22 que mon épaule me tombe du torse, que mon bras se brise à la clavicule ! ( )

31,23 Oui, à moi le tremblement, le désastre d'Él ! Le supporter, je ne le pouvais.


( )
31,24 Ai-je mis mon expectative dans l'or, et dit au vermeil : « Ma sécurité ? » ( ) 31,25 Me suis-je réjoui de mes richesses immenses, et de ce que ma main ait atteint la grandeur ? ( ) 31,26 Si je voyais la lumière s'auréoler et la lune précieuse s'en aller, ( ) 31,27 mon cœur en était-il séduit en cachette, et ma bouche la baisait-elle de ma main ? ( ) 31,28 Cela aussi aurait été un tort criminel : oui, j'aurais renié l'Él d'en haut ( )



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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 36