Livre de Job
30,22 Tu m’emportes sur le vent, tu m’y fais chevaucher, tu me dissous dans l’orage. ( ) 30,23 Oui, je le sais, tu me ramènes à la mort, au rendez-vous de tout vivant. ( ) 30,24 Pourtant on ne porte pas la main sur celui qui s’effondre, si, dans son malheur, il crie. ( ) 30,25 N’ai-je pas pleuré sur l’homme à la vie dure ? Mon âme ne s’est-elle pas émue sur l’indigent ? ( ) 30,26 J’espérais le bonheur, et le malheur survient ; j’attendais la lumière, et vient l’obscurité ! ( )

30,27 Mes entrailles bouillonnent sans repos ; des jours d’affliction viennent à ma rencontre.


( )
30,28 Je marche, assombri, sans soleil ; je me lève dans l’assemblée et je crie. ( ) 30,29 Me voici devenu le frère des chacals, le compagnon des autruches. ( ) 30,30 Ma peau a noirci sur moi, mes os brûlent de fièvre. ( ) 30,31 Ma cithare sert à la plainte, et ma flûte à la voix des pleureurs. ( ) 31,1 J’avais conclu un pacte avec mes yeux : comment, alors, aurais-je fixé du regard une jeune fille vierge ? ( )



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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 36