Livre de Job
30,20 Vers toi je crie, et tu ne réponds pas ; je me tiens devant toi, et tu me fixes du regard ! ( ) 30,21 Tu es devenu cruel pour moi, de ta poigne vigoureuse tu t’acharnes sur moi. ( ) 30,22 Tu m’emportes sur le vent, tu m’y fais chevaucher, tu me dissous dans l’orage. ( ) 30,23 Oui, je le sais, tu me ramènes à la mort, au rendez-vous de tout vivant. ( ) 30,24 Pourtant on ne porte pas la main sur celui qui s’effondre, si, dans son malheur, il crie. ( )

30,25 N’ai-je pas pleuré sur l’homme à la vie dure ? Mon âme ne s’est-elle pas émue sur l’indigent ?


( )
30,26 J’espérais le bonheur, et le malheur survient ; j’attendais la lumière, et vient l’obscurité ! ( ) 30,27 Mes entrailles bouillonnent sans repos ; des jours d’affliction viennent à ma rencontre. ( ) 30,28 Je marche, assombri, sans soleil ; je me lève dans l’assemblée et je crie. ( ) 30,29 Me voici devenu le frère des chacals, le compagnon des autruches. ( ) 30,30 Ma peau a noirci sur moi, mes os brûlent de fièvre. ( )



trouve dans 0 passage(s):
trouve dans 0 liturgie(s):
trouve dans 0 document(s) de référence:
Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 36