Livre de Job
27,20 Les terreurs l’assaillent comme les flots ; la nuit, l’ouragan l’emporte. ( ) 27,21 Soulevé par le vent d’est, il s’en va, un tourbillon le chasse loin de sa demeure. ( ) 27,22 Sans pitié, on tire sur lui, il cherche à fuir la main qui le frappe. ( ) 27,23 On applaudit à ce qui lui arrive, il quitte sa demeure sous les sifflets. ( ) 28,1 Certes, il y a une mine pour l’argent, un lieu pour l’or que l’on affine. ( )

28,2 Le fer est tiré du sol, et le cuivre s’obtient d’une pierre fondue.


( )
28,3 On met fin aux ténèbres, jusqu’au tréfonds on fouille la pierre obscure et sombre. ( ) 28,4 On creuse une galerie à l’écart des habitants. Ignorés des passants, les mineurs sont suspendus ; loin de tout être humain, ils oscillent. ( ) 28,5 La terre d’où sort le pain est bouleversée en ses entrailles comme par un feu. ( ) 28,6 Ses pierres recèlent des saphirs et l’on y voit des poussières d’or. ( ) 28,7 Sentier qu’ignore le rapace, que l’œil du vautour n’a pas aperçu. ( )



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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 36