Livre de Job
26,4 À qui adresses-tu des paroles, et qui t’inspire ce qui sort de toi ? ( ) 26,5 Les ombres tremblent au-dessous des eaux et de leurs habitants. ( ) 26,6 Le séjour des morts est à nu devant lui, et l’abîme est sans voile. ( ) 26,7 Il étend les espaces du nord au-dessus du chaos, suspend la terre sur le vide. ( ) 26,8 Il enserre les eaux dans ses nuages, sans que la nuée crève sous leur poids. ( )

26,9 Il dérobe la vue de son trône en déployant sur lui sa nuée.


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26,10 Il a tracé un cercle sur la face des eaux, à la limite de la lumière et des ténèbres. ( ) 26,11 Les colonnes du ciel vacillent, épouvantées, à sa menace. ( ) 26,12 Par sa force il a dompté la mer et, par son intelligence, écrasé le Monstre marin. ( ) 26,13 Par son souffle il a rendu le ciel serein, sa main a transpercé le Serpent fuyard. ( ) 26,14 Tels sont les contours de ses œuvres : nous n’en percevons qu’un simple murmure, mais le tonnerre de sa puissance, qui le comprendra ? » ( )



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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 35