Livre de Job
24,20 Le sein maternel les oublie, la vermine fait d’eux ses délices, personne ne garde leur souvenir. La perfidie est brisée comme un arbre. ( ) 24,21 Ils maltraitent la femme stérile, parce qu’elle ne donne pas d’enfant ; ils ne veillent pas au bien-être de la veuve. ( ) 24,22 Dieu, par sa force, fait durer les puissants, mais quand il se dresse pour juger, l’homme n’est plus sûr de vivre. ( ) 24,23 S’il leur accorde la confiance pour appui, il garde pourtant les yeux sur leur conduite : ( ) 24,24 élevés pour un temps, ils ne sont plus ; rabaissés, ils sont moissonnés comme tous les hommes et se fanent comme la tête d’un épi. ( )

24,25 N’en est-il pas ainsi ? Qui me démentira ? Qui réduira mes paroles à néant ? »


( )
25,1 Bildad de Shouah prit la parole et dit : ( ) 25,2 « À lui l’empire et la terreur, lui qui établit la paix dans ses hauteurs. ( ) 25,3 Peut-on dénombrer ses légions, et sur qui sa lumière ne se lève-t-elle pas ? ( ) 25,4 Comment le mortel pourrait-il avoir raison contre Dieu, comment serait-il pur, l’enfant de la femme ? ( ) 25,5 Si même la lune perd son éclat, si les étoiles ne sont pas pures à ses yeux, ( )



trouve dans 0 passage(s):
trouve dans 0 liturgie(s):
trouve dans 0 document(s) de référence:
Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 35